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Jean Pierre HUE se présente

 De la peinture sous verre  aux  laques sous plexiglas

 L’appellation française de « fixé sous verre » ne donne pas une idée exacte du procédé. Certains artistes l’appellent « peinture sous verre », par opposition à la « peinture sur verre » utilisée dans la technique du vitrail. En effet, on peint sur l’envers du verre qui présente à l’endroit un aspect parfaitement lisse.

L’âge d’or de la peinture sous verre s’étend de 1750 à 1850, période durant laquelle elle s’est épanouie dans toute l’Europe et répandue dans le monde entier, mais il est probable que cette technique ait toujours existé là où il y avait production de verre. Ses origines seraient donc fort anciennes. Le procédé semble connu dès les premiers siècles de notre ère chez les verriers du Moyen-Orient, puis rejoint Venise par le biais des invasions Turques. De là, à la faveur d’innovations techniques dans la fabrication du verre, cette mode s’étend dans toute l’Europe.

La peinture sous verre permet d’exalter les couleurs grâce à l’épaisseur et la brillance du verre. Mais elle exige aussi une démarche particulière : l’œuvre est peinte au revers du support, ce qui oblige l’artiste à apposer les couleurs dans l’ordre inverse de celui pratiqué habituellement. Tout se passe à l’inverse d’une peinture traditionnelle où on commence par les premiers plans pour terminer par les plus lointains. Cette technique interdit également toute retouche ou modification en cours d’exécution, ce qui implique une grande maîtrise de la part de l’artiste.

Plus d’infos :          WWW.artmajeur.com/jeanpierrehue

Jean-Pierre HUE

Présidial, du 21 janvier au 15 mars 2009

Depuis 2002, Jean-Pierre Hue a pris une nouvelle direction en passant de la toile classique au support transparent et lisse (verre, plexiglas, vinyle …) avec l’utilisation de la très ancienne technique de la peinture sous verre ou des très actuelles laques sous plexiglas qui répondent l’une comme l’autre à un besoin de transparence, de profondeur et de multiplicité de lecture. 

  Jean-Pierre Hue nous propose une série d’œuvres consacrées à la ville de demain cités gigantesques et déshumanisées, agrégat de grattes ciel ou l’homme mesure sa solitude dans la multitude. Il s’agit d’une transition du vieux monde vers un nouveau monde virtuel proche de l’univers manga .

Les œuvres ainsi produites, à la fois construites et baroques, puisent dans une grammaire abstraite et pourraient se rattacher, s’il  fallait les qualifier, à un courant néo-futuriste

Biographie

Né à Lyon en 1949, Jean-Pierre HUE vit et travaille à Brest

Mik-Art se présente

Je suis un artiste peintre contemporain breton âgé de 29 ans.
On dit que je suis un peintre qui ne laisse pas indifférent, qu’il faut se laisser  porter par mon univers unique et mystérieux.
Découvrez mes peintures abstraites et figuratives

Gaëlle se présente

Je me suis jetée à l’eau de l’aquarelle par défi « je peux tenter ! ».
 J’ai acheté les livres d’apprentissage et j’ai « piqué » les peintures de mes enfants.
Avec l’encouragement de mon entourage j’ai persisté et acheté le matériel.
L’aventure a commencé en 2005.
En 2010, je me jette encore à l’eau, me confronter au public

Anthony VIAUD se présente

Titulaire d’un BTS Aménagement paysager acquis en juin 2009, et passionné de décoration intérieur-extérieur, je me suis rapidement dirigé vers la conception de cadres végétaux. Il ma fallut plus d’une année pour mettre au point mon concept du cadre végétal et imaginer les différents encadrements.
Je souhaite développer mon activité et la faire connaitre au plus grand nombre.

Christian HERRY se présente

 Art du verre architectural et sculptures
de Christian Herry
artiste verrier en Bretagne depuis 1985.
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Formation Beaux Arts – Architecture
Autodidacte Verre
Techniques mixtes utilisées à froid : Taille directe au jet de sable,burin outils diamantés..

Principales expositions :

Verre et Lumière – Rennes
Jeunes créateurs – Nantes
Galerie du Bois d’Amour – Pont Aven
Studio Exhibition – Turku – Finlande
Les Verriers du Vissoir – Trelazé
Festival international des arts du verre – Palau del vidre
Galerie La Rotonde – Lanester
Biennales du Verre – Carmaux
Harbour Cottage Gallery – Kircubright – Ecosse
Le Colombier – Ville d’Avray
Biennales du Verre contemporain – Chaniers
Cloitre des Carmes – Jonzac
Art et création – Paris Longchamp
Maison et Objet – Paris
Manoir de Kerazan – Loctudy
Galerie Meriadec – Treboul
Biennale Cère et Dordogne – Bretonnoux
Biennale des Verriers – St Renan
Exposition internationale Verriers contemporains – Alizay
Saint Jean d’Artplasty – ST Jean d’Angely
La Cour des Métiers d’Art – Pont Scorff
Verresion Perso – CCI – Quimper
Chambre des Métiers – Quimper

Petit message de présentation de Marie La ROUILLE

Je m’appelle Marie-Christine Le Cann, je suis peintre,
j’esxpose depuis 2 ans maintenant
Je peins sur bois ou sur toile à l’acrylique et aux pigments naturels
. J’ai une fascination pour la rouille et les peintures écaillées d’où mon surnom de Marie La Rouille..
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J’habite sur Dirinon au lieu dit Lezuzan . Mon atelier est à côté de mon domicile… Il est ouvert au public …

Laorañs se présente

Amateur, je n’ai suivi aucune formation particulière, je n’ai jamais reçu aucun prix, d’ailleurs, je n’ai jamais exposé (pour l’instant). Lassé de peindre des tableaux classiques que d’autres font bien mieux que moi, je m’oriente davantage vers la défense de la culture, de l’économie, de l’Histoire d’une Bretagne à cinq départements. Loin du folklore dans lequel nous nous sommes laissés enfermer, je veux peindre, à l’huile, le passé, le présent et l’avenir d’une Bretagne ouverte sur le monde. Quitte à provoquer un peu, parfois…

Présentation de l’exposition par serge Marzin

 

Serge Marzin – Graveur d’estampes-Exposition à la Mairie de Plourin les Morlaix

Mars – Avril 2010
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        Etre graveur ou guetteur d’aube comme j’aime à me définir est le moyen que j’ai choisi pour capter les signes fugitifs de la vie.

        D’une nature contemplative, je savoure le temps du guetteur. Attendre, comprendre avant d’interpréter car la nature s’écoute. Elle ouvre notre cœur à l’espérance mais aussi à l’illusion que nous pouvons saisir, ne serait-ce qu’un instant, la face cachée des choses.

        Reste à restituer à l’aide du burin ces sillons sur la plaque de cuivre. Par cette tendre méditation, on approche ce monde avec un esprit pacifié pour retranscrire en poésie la spontanéité d’une pensée.

         Graver à l’aide de cet outil qui m’a choisi et que l’on appelle « burin » exige calme, lenteur et minutie. Il donne le temps de comprendre l’alchimie de notre existence terrestre.

Serge Marzin
Le 05.03.2010